Une fresque pour les JO aux Trois-Mâts
La ville de Bourg-la-Reine, reconnue en particulier pour le palmarès de ses escrimeurs, et qui accueille cette année l’équipe olympique d’escrime japonaise pour ses entraînements, a lancé auprès de plusieurs associations locales un appel à projets dédiés aux Jeux Olympiques et Paralympiques.
ADS s’est retrouvée parmi les huit associations subventionnées après avoir présenté un projet de trois ateliers de peinture évoquant différents sports, en partenariat avec l’Association Soutien Scolaire et Culturel, l’équipe du Trois-Mâts et l’association Cité-Caritas. Les deux premiers ateliers se sont déroulés aux Trois-Mâts auprès d’enfants d’une dizaine d’années : le premier réunissant 8 enfants de l’Association soutien Scolaire et Culturel et sa présidente, le second regroupant 4 enfants dans le cadre des ateliers organisés par le Trois-Mâts pendant les congés scolaires de printemps.
Jean-Jacques Grand, calligraphe et graphiste de l’ADS, avait minutieusement préparé les ateliers. Il a tout d’abord initié ses « élèves », à l’aide de modèles dessinés, à l’art de saisir une attitude, le mouvement d’un sportif, pour entraîner les enfants, armés d’un crayon ou d’un pinceau, à prendre possession de la toile, en s’inspirant des modèles proposés ou le plus souvent laissant vaquer leur imagination.
« Mettez de la couleur partout ! » avait lancé le « maître » et, un peu timides au début, les enfants se sont laissés aller à créer des personnages et des scènes de compétitions sportives, où l’on pouvait voir des affrontement non violents, des rencontres permettant simplement de découvrir l’autre. Peu à peu, les petites toiles carrées distribuées aux enfants se sont retrouvées couvertes de silhouettes parfois étranges de boxeurs, de cyclistes, couvertes de coureurs et de couleurs, poussant Jean-Jacques Grand, le plus souvent sévère quand il s’agit de peinture, à avouer son étonnement devant le talent spontané de Arken, Bidja, Bintou, Coumba, Fatou, Maimouna, Maty, Rayen pour ASC, sa classe de 6 filles et 2 garçons à laquelle s’était jointe Marie-Dominique la responsable, Marlon, Sira, Inès, Horié pour l’atelier dédié aux vacances de printemps.
Les toiles ont ensuite été assemblées par Jean-Jacques Grand pour former la fresque qu’il a voulu tournante. Les enfants pourront faire pivoter d’un quart de tour la fresque chaque semaine jusqu’à la fin des Jeux et même au-delà !

Invitée par ADS pour l’ouverture de la semaine des Droits des Femmes, Alissa Wenz a donné son spectacle Je Tu Elle à l’Agoreine le 3 mars, devant une salle comble. Une belle découverte pour le public et nous ne pouvons qu’être heureux d’avoir fait connaître, dans notre ville, cette artiste que nous apprécions tant.
scène, par son talent en un mot. L’artiste, à son tour, s’est déclarée conquise par ce public, « un public formidable » selon ses mots, qui a su lui communiquer son enthousiasme par des applaudissements nourris.
ADS remercie la ville de Bourg-la-Reine pour sa présence et sa participation à l’organisation de cette soirée en mettant à notre disposition la salle de l’Agoreine et son équipe technique performante.
Mardi 19 mars, en fin de journée, quatre étudiantes de l’I.U.T. de Sceaux ont présenté dans la salle des Garages, à Sceaux, les résultats d’un projet tutoré proposé par ADS pour traiter du « ressenti » de la condition d’immigré par les jeunes étudiantes ou étudiants, soit nés dans une famille arrivée récemment en France soit étant arrivés seuls pour y suivre des études.
L’idée de cette exposition est venue assez naturellement.
Et le vernissage a confirmé l’intérêt de ce travail en commun ! Un vernissage joyeux, animé. Les discussions sont allées bon train devant les photos. Les exposants étaient heureux de se retrouver comme à chaque rendez-vous, mais aussi ravis de rencontrer les adhérents d’ADS, avec quelques retrouvailles entre vieux amis, et les représentants du Crédit Mutuel.



Le spectacle aura lieu à l’AGOREINE, 63 bis Bd du Maréchal Joffre, Bourg-la-Reine, le dimanche 3 mars 2024, à 17h30. En première partie, la chorale Chant’reine nous fera le plaisir d’interpréter quelques chansons.
monde avec un regard tour à tour tendre, malicieux, exigeant, rageur, fougueux ou romantique. Accompagnée au piano par Nathalie Fortin, elle nous embarque dans un voyage aussi prometteur que désenchanté, aussi impétueux que réconfortant.
Ce spectacle accompagne l’album Je, tu, elle (EPM / Universal), dont Romain Didier signe les arrangements.
L’artiste, Jane Lorrain, a exercé son pouvoir absolu de suspendre à un moment précis la course du pinceau, pour arrêter le temps et nous livrer le mystère de toute œuvre d’art.
souvent comme un passe-temps de vieille dame ou un simple coloriage pour enfants par un public qui n’a pas toujours suivi l’évolution de l’aquarelle, passant aujourd’hui de la « peinture à l’eau » à la peinture « dans l’eau », technique plus récente adoptée par Jane Lorrain, où le papier est soit trempé avant d’être tendu sur un châssis, soit plongé dans l’eau avant d’être posé sur plexiglas.
l’Infinie Comédie, pour la Journée Internationale pour l’élimination des violences envers les femmes.
douter de la violence subie par certaines femmes. Un film poignant et c’est encore tous remués, que nous avons enchaîné sur le débat, un débat mené par Michel Giraud de ADS, avec une participation très active de la salle.
autobiographique, Alissa Wenz a expliqué, en prenant des images très parlantes, l’incompréhensible vu de l’extérieur : pourquoi la femme, sous emprise, ne rompt pas immédiatement ? « quand vous attendez le bus qui n’arrive pas, et que vous avez déjà attendu 15 mn, vous attendez encore 5 mn, puis encore 5 mn, puis … , parce-que vous avez déjà fait tout ce chemin et que vous ne voulez pas renoncer, recommencer. Il y a toujours l’espoir que ce sera différent demain ».
Le groupe se limite en effet à dix amis, principalement des peintres mais, l’amitié et la liberté étant les maîtres mots de ce regroupement, deux sculpteurs y furent rapidement tout autant bienvenus.
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