Aide à l’insertion

Coaching à Initiatives, 4 octobre 2023

10 bénévoles, 30 étudiants

Un après-midi pour préparer 30 étudiants à leur recherche de stage ou apprentissage, c’était la mission confiée par le Référent de Parcours apprenants Moniteurs-Educateurs à Initiatives. Défi relevé, nous avons mobilisé 10 bénévoles du groupe Ariane d’ADS, en charge du coaching professionnel et de l’accompagnement vers l’emploi.

Initiatives nous a transmis la satisfaction des étudiants :

« Votre contribution a permis d’enrichir notre offre pédagogique et d’offrir des opportunités précieuses à nos stagiaires dans leurs recherches de sites qualifiants pour un stage et/ou un contrat d’apprentissage. »

et celle de la Direction :

 « Nous sommes honorés de travailler avec une association aussi dévouée et engagée que la vôtre. »

Un bel après midi enrichissant pour tous … et tous les bénévoles sont prêts à recommencer !  Merci à Initiatives pour sa confiance

Témoignage d’Omid, migrant afghan

Souvenir du voyage d’Afghanistan en Iran : Omid avait alors 7 ans

L’interview d’Ahmed, le premier interview des « paroles de migrants » que nous faisions, en février 2022, nous laissera un souvenir durable, et pas seulement pour l’âpreté du récit lui-même.

Tout d’abord, pour ne pas faire mentir la réputation d’hospitalité des Afghans, et bien que migrants logés provisoirement au HUDA de Bourg la Reine, Ahmed et ses garçons, Omid 12 ans et Amid, 14 ans, nous ont fait l’honneur de nous accueillir comme chez eux, avec du thé, quelques fruits et quelques gâteaux… Ahmed, le père, ne s’exprimait pas encore facilement en français et ce sont donc ses garçons, et plus particulièrement Omid, fort de ses quelques mois d’apprentissage du français à l’école, qui ont servi de traducteurs pour nos questions et les réponses de leur père.

La traduction respectueuse de la parole paternelle a certainement donné à Omid l’envie, à son tour, d’exprimer ses propres souvenirs de cet exode. C’est ainsi que quelques semaines plus tard, Omid nous a fait la surprise de nous faire parvenir, par écrit, son propre témoignage, celui d’un enfant qui n’avait pas plus de 9 ans à l’époque.

Ce texte, spontané, mais rédigé avec une maîtrise remarquable pour un jeune de 12 ans n’ayant découvert la langue française que depuis quelque mois, a juste été légèrement retouché, pour l’orthographe, par ses « parrains » de l’ADS.  En savoir plus…

Discriminations, paroles de jeunes travailleurs

Et le droit à l’épanouissement ?

Une douzaine de résidents du Foyer des Jeunes Travailleurs de Bourg-la-Reine, autant de filles que de garçons, ont accepté l’invitation de l’ADS à venir débattre des droits de l’homme et des discriminations dans la perspective du forum des droits qui se tiendra en fin d’année. Ce débat a répondu à notre attente, plein de passion, de virulence et de spontanéité.

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Paroles de migrants, Sow

La rapidité du débit de parole de Saifoulaye Sow, Sow pour ses amis, fait vite comprendre qu’il a comme une revanche à prendre sur la vie, qu’il n’a plus le temps d’attendre. En savoir plus…

Paroles de migrants, Hadiyetou

Hadiyetou

Un soir, son oncle maternel lui annonce : « Prépare-toi, tu pars demain en Europe, ce n’est pas ici que tu vas trouver un avenir ».

Hadiyetou a 14 ans, il ne pense pas un instant à contester la décision familiale, son oncle a payé le voyage d’avance et il se retrouve dès le lendemain dans un bus, quittant la Mauritanie, le pays de son enfance, pour rejoindre le Mali, son pays de naissance. De là, jeté avec d’autres jeunes dans un pick-up Toyota, va commencer un périple infernal pour traverser le Mali, l’Algérie, et la Lybie, où il va retrouver son frère, de deux ans son aîné qui, lui aussi, malgré des problèmes de santé, a pris la route de l’Europe. En savoir plus…

Paroles de migrants, Diallo

Diallo

Diallo, jeune femme de l’ethnie Peule, née en Guinée Conakry, avait quelques atouts en main, mais cela ne suffisait pas pour lutter contre le poids des traditions. Fille d’un commerçant relativement aisé de Conakry, elle avait pu suivre des études, à l’école coranique tout d’abord puis dans une école privée jusqu’au bac, et avait obtenue un diplôme de maîtrise appliquée à la gestion.  Elle était alors soutenue, moralement et financièrement, par son père, son seul confident.

C’était le côté « bonnes cartes », mais le soutien de son père n’est pas suffisant pour s’opposer à la « famille », une grande fratrie de 17 enfants où les garçons bénéficient naturellement d’une grande liberté mais où les filles subissent la loi des gardiennes de la tradition, des grand-mères, tantes, épouses diverses. En savoir plus…

Paroles de migrants, Mamadou

Mamadou

Mamadou, à quinze ans, va voir sa vie prendre brutalement une direction imprévue sans qu’il en soit vraiment préparé. Son père, agriculteur dans la région de Kayes, dans l’ouest du Mali, va tomber malade et connaitre des difficultés pour subvenir aux besoins de sa famille. Un cousin, exerçant son métier de commerçant entre le Mali et la Mauritanie, propose alors au jeune Mamadou de l’aider à entreprendre le voyage vers l’Europe, le seul espoir de beaucoup de jeunes lorsque la vie devient trop difficile au pays.
Le voyage commence donc par la Mauritanie, au nord de Kayes, là où son cousin le confie à un « contact » qui lui fait traverser le pays en bus, toujours vers le nord et, deux jours après, lui fait franchir la frontière du Maroc, clandestinement, en traversant à pied une forêt, se souvient Mamadou.

La traversée du Maroc, à pied ou en bus, le conduit ensuite à Nador, tout au nord du Maroc, sur les bords de la Méditerranée, une ville voisine de l’enclave espagnole de Melilla.
Là, après 3 semaines d’attente dans une forêt, un zodiac embarque les candidats au départ pour les mener juste en face, à quand même quelque 150 km à vol d’oiseau, sur la côte espagnole.
La traversée se terminera sur le bateau de garde-côtes espagnols, dans les eaux territoriales espagnoles, qui conduisent les jeunes à Malaga, où ils subissent un premier interrogatoire. Un premier tri qui va faire comprendre à Mamadou qu’il est devenu un MNA, un mineur non accompagné.
Il va rester 2 mois à Malaga, dans un camp pour mineurs, un séjour dont il garde un plutôt bon souvenir, bien logé, bien nourri, avec seulement un ennui pénible, dans une inactivité totale, à part taper de temps en temps sur un ballon. Mamadou peut quand même se faire de nouveaux copains, dont l’un lui procure pour la première fois une sorte de but : aller en Allemagne, où son nouveau copain a un ami et où, parait-il, il est très facile de trouver un travail bien rémunéré.
Avec deux de ses nouveaux amis, il décide donc de quitter clandestinement le camp et grimpe dans le premier train partant vers le nord, vers l’Allemagne. Sans papiers, sans argent, ne parlant aucune autre langue que le Soninké, Mamadou et ses copains se retrouvent à la frontière française, à Bayonne, où ils sont confiés à la Croix-Rouge.
Déjà aguerris, les trois amis repartent discrètement au bout de trois jours, remontent dans un train sans connaitre vraiment sa destination et, cachés la plupart du temps dans les toilettes, arrivent enfin à Paris où, totalement affamés, ils doivent descendre du train pour tenter de trouver un peu de nourriture. Une vieille dame charitable va heureusement les nourrir et les conduire à la Croix-Rouge qui va rapidement les prendre en charge et les loger dans un hôtel.
Le voyage fut sans doute plus dur et angoissant que ce que raconte Mamadou mais, par pudeur, il préfère certainement en livrer un récit édulcoré, sans doute pour ne pas donner l’impression de se plaindre, une sorte de remerciement envers les inconnus qui l’ont aidé au cours des dernières semaines.
Mamadou semble s’être laissé porter par le hasard, sans savoir vraiment ce qu’il attendait, ni surtout ce qui l’attendait, en quittant le Mali. Dans son cas, le hasard semble avoir été favorable.
Il se retrouve finalement dirigé par la Croix Rouge vers un foyer de la porte d’Orléans. Et c’est là seulement qu’il va s’autoriser une « faiblesse » et se mettre un jour à pleurer. Il peut enfin se confier à un psychologue de la Croix Rouge : le Mali lui manque, sa famille lui manque, il n’a pas pu parler à sa mère depuis des mois. De toute façon, il n’y a pas de téléphone chez ses parents, il n’a aucun numéro, aucun contact… Mais il veut parler à sa mère… Et la solidarité s’organise alors, un groupe de jeunes maliens du foyer vont le soutenir, l’interroger, trouver un contact avec des voisins de sa famille, sa mère est prévenue et ils peuvent enfin se parler…ce qui pourrait être un conte de fée continue.
Mamadou est enfin placé dans une famille d’accueil, retrouve une scolarité normale, trouve un avenir possible après un stage de couvreur zingueur qui lui fait rencontrer un patron bienveillant qui l’oriente vers une école des Compagnons du Devoir où il va préparer un CAP en alternant semaines de formation et travail rémunéré.
Mamadou a maintenant un vrai projet : son CAP obtenu, il préparera un bac pro en couverture zinguerie qu’il obtiendra, il en est sûr, après deux ans d’études.
Devenu majeur, il lui faut aussi penser à son statut, à ses papiers, et, toujours proche de sa famille d’accueil, toujours aidé par une conseillère de l’ASE, l’Aide Sociale à l’Enfance, trouver enfin une place dans un FJT, Foyer pour Jeunes Travailleurs, pour devenir véritablement indépendant, et pourquoi pas s’offrir un voyage au Mali, à Kayes, pour enfin embrasser sa mère.

Avril 2022

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Paroles de migrants, Maryam

Maryam


Maryam est née en 2003 dans une famille chrétienne aisée de Mossoul. Son enfance de petite fille heureuse sera de courte durée. En 2007, pour fuir la terreur de l’avancée des djihadistes, toute la famille, la mère, le père, l’oncle, et les 5 enfants se réfugient à Qaraquosh, la plus importante ville chrétienne d’Irak. Mais le refuge n’est que temporaire. En 2014, la terreur s’invite dans la famille : ses parents doivent payer une rançon pour retrouver leur plus jeune fils, âgé de 5 ans, kidnappé par une bande armée de Daech. Il sera heureusement libéré dès le lendemain.
C’est cette même année que les djihadistes de « l’état Islamique » s’emparent de Mossoul et dictent leur loi dans la région, persécutant en particulier les chrétiens. La famille doit alors reprendre sa route vers Erbil, une des plus vieilles villes de l’histoire du monde, habitée sans interruption depuis au moins 4000 ans, une ville plus sécurisée par la proximité d’une grande base américaine. Maryam a 11 ans.
L’ainé des enfants, un des trois frères de Maryam, décide alors de tenter sa chance et, avec quelques amis, part en voiture vers la frontière turque, passe en Grèce avant de terminer son voyage à pied pour franchir clandestinement, quelques semaines plus tard, la frontière française.
La famille restera 6 mois sans recevoir de nouvelles puis apprend enfin que ce grand frère a pu obtenir un statut de réfugié en France et a débuté le long travail d’intégration de tous les exilés. Encore sans papiers, pensant à sa famille, il a commencé des démarches pour un regroupement familial et pourra ainsi, en 2018, accueillir à la descente de l’avion ses parents, son second frère et sa soeur Maryam, 15 ans. Son autre soeur, son petit frère et son oncle ont pour leur part préféré rester en Irak.
Si l’accueil réservé en France est assez généreux pour les réfugiés irakiens chrétiens après la bataille pour la reprise de Mossoul, l’intégration ne sera pas plus facile pour autant.
Maryam se retrouve au collège La Fontaine, à Bourg la Reine, dans une classe pour étrangers, en compagnie de Portugais, d’Espagnols, et de nombreux Africains de différents pays, aucun ne parlant français. Si son parcours scolaire est satisfaisant, CAP « commerce » à Meudon, puis Bac Pro « accueil » au lycée d’Asnières sur Seine, son intégration est plus difficile. L’apprentissage du français lui demande d’énormes efforts, et, sans parler de harcèlement, les contacts avec les autres élèves sont difficiles, elle ne se sent pas vraiment acceptée.
L’association Habitat et Humanisme a logé sa famille dans un grand appartement de Bourg-la-Reine, partagé avec 3 autres familles de migrants, une famille syrienne et deux familles africaines. L’appartement ne possède qu’une seule cuisine et, malgré la bonne volonté de tous, la cohabitation est naturellement pénible, en particulier à partir de la période de confinement liée au covid.
La famille habite maintenant à Chatou, dans des conditions bien meilleures, mais Maryam sait bien qu’il ne s’agit que d’une étape supplémentaire.
Son grand frère a obtenu enfin la nationalité française et a consacré ses premières vacances de citoyen français à un voyage en Irak, à Erbil, pour rendre visite à son petit frère et à la famille de sa soeur, qui étaient restés en Irak lors de l’exil de 2018. L’oncle, l’aîné de la famille, était malheureusement décédé.
Pour Maryam, qui a aujourd’hui 19 ans, un tel voyage en Irak est encore impossible. Paradoxalement, son espoir secret est d’acquérir la nationalité française pour pouvoir, en toute sécurité, retourner enfin en Irak, son pays, le pays de ses ancêtres.
Elle a entendu dire que la plupart des églises détruites pendant la période de la terreur djihadiste ont été reconstruites. La vie reprend là-bas, et son seul et plus grand rêve est de retourner dans son pays pour, qui sait, y fonder sa propre famille.

Mars 2022

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Paroles de migrants, Malia

Malia

En 2017, quand elle descend de l’avion l’amenant en France, Malia pense certainement que la vie va enfin lui sourire. Elle laisse derrière elle, au Mali, une jeunesse malmenée, piétinée, gâchée.

En 2005, elle a 16 ans et, sur ordre de ses oncles, sans qu’elle ait un mot à dire et sans que son père ou sa mère puisse s’y opposer, elle se retrouve, au village, mariée de force avec un homme de sa grande « famille », avec le rang de troisième épouse, c’est ce qu’on appelle un « mariage traditionnel ». La première épouse a déjà deux enfants plus âgés qu’elle et, le frère de son mari étant mort, sa veuve est devenue automatiquement deuxième épouse, c’est encore la tradition. La troisième épouse, Malia, devient alors tout aussi naturellement la souffre-douleur de la famille. En 2008, son mari lui fait un enfant, juste un an avant sa mort.

Devenue « veuve » à 20 ans, Malia retourne alors chez ses parents, avec son enfant. Dès son retour, pressions et violences reprennent, alors qu’une maladie encore non diagnostiquée l’affecte douloureusement. Son père veut la marier de nouveau, cette fois avec son frère ainé, âgé de 55 ans. Ses deux sœurs aînées et même sa plus jeune sœur ont déjà été mariées avec des hommes de sa famille paternelle mais Malia trouve la force de refuser, ne voulant pas revivre les souffrances de son premier mariage. Les relations avec son père s’enveniment rapidement, les violences deviennent quotidiennes. Sa mère, heureusement, la soutient discrètement et finit même par lui procurer de l’argent pour qu’elle puisse enfin partir en France, pour officiellement se faire soigner, mais aussi dans l’espoir de sortir enfin du cercle infernal de la tradition et des violences conjugales, le lot commun pour bon nombre des femmes maliennes.

Il lui faudra attendre 2017 pour que, invitée par des amis déjà installés en France, aidée financièrement par sa mère, elle puisse enfin prendre un avion pour la France. Elle voyage seule, laissant son enfant à la garde de ses parents. Malia ne sait ni lire ni écrire, parle à peine quelques mots de français et, ne voulant déranger personne, excessivement discrète, elle ne s’installe pas chez ses amis et se contente de regagner tous les soirs l’abri provisoire que lui indique le 115.

Après un rendez-vous à l’hôpital, sa maladie trouve enfin un nom : Hépatite B, une maladie qui ne peut être soignée qu’avec un médicament non accessible au Mali. Elle reste donc en France, et n’ose solliciter ni appui, ni conseil pour régulariser sa situation. Trop timide et pudique, Malia pense que le fait d’être soignée à l’hôpital et d’être prise en charge par la CMU suffit pour avoir le droit de rester en France. Elle se contente donc de renouveler chaque année son fragile titre de séjour mais ne pense pas avoir à faire d’autres démarches, ni même à se renseigner auprès de services sociaux, alors qu’une demande d’asile suite aux violences subies au Mali, suite à l’impossibilité de se soigner au Mali, lui aurait peut-être été accordée et même la possibilité de faire venir son enfant.

Malia arrive a trouver un logement plus pérenne dans un CHRS, réussit à trouver un travail d’insertion dans le domaine des espaces verts,  mais personne ne lui explique que le titre de séjour n’a qu’un temps et, fatalement, elle reçoit un jour l’avis de rejet de la demande de prorogation de son titre de séjour et le redouté OQTF, « l’Ordre de Quitter le Territoire Français », un document rédigé en termes plus ou moins juridiques volontairement agressifs, ordonnant un départ dans les trente jours, après confiscation immédiate du passeport et obligation de visite hebdomadaire à la préfecture pour vérification de l’avancement de ses démarches pour repartir. Généreusement, soufflant le chaud et le froid, l’administration propose quand même une aide pour faciliter cette simple expulsion, le règlement de ses frais de retours et même un petit pécule…

Quelles alternatives se présente alors ? l’OQTF évoque un départ « volontaire » dans un autre pays, à condition d’envoyer tous documents prouvant ce départ, ou encore, pour les plus aisés, le recours à un avocat pour entreprendre un périlleux duel avec l’administration, ou enfin, alternative choisie par beaucoup, reste la possibilité de simplement disparaître en restant en France ou dans un autre pays de l’espace Shengen, en changeant de nom, une clandestinité rarement couronnée de succès.

Pour Malia, c’est la déroute, l’incompréhension. Elle qui a toujours été honnête en France, « j’ai toujours payé mon ticket de métro dira-t-elle », elle ne comprend pas ce qui lui arrive. La perspective de retourner au pays lui est insupportable, retrouver son village où elle sait que les palabres des hommes vont tous les jours l’inciter à se remarier avec un des frères de son mari n’est pas envisageable. Elle tentera le recours en faisant appel à un avocat … une longue procédure pendant laquelle elle n’ose plus sortir, terrorisée.

Février 2022

 

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Un atelier « Codes pour les entretiens d’embauche » pour les jeunes de la Vie au Grand Air, Mai 2022

Quand les bénévoles du groupe Ariane se mettent en scène …

Lors des entretiens d’embauche ou au cours de leur débuts dans le monde professionnel, les bénéficiaires de nos actions de coaching rencontrent parfois des difficultés en raison d’une certaine méconnaissance des codes et usages dans les relations de travail. Ce point est bien sûr abordé lors des séances individuelles avec les bénéficiaires, mais après discussion avec certaines de nos institutions partenaires, il est apparu qu’une formation collective serait utile. 

Cela a été l’occasion pour le groupe Ariane de mener une réflexion plus approfondie sur les codes du monde professionnel les plus importants pour nos bénéficiaires, et sur la meilleure manière de leur en faire prendre conscience.  En savoir plus…