En partenariat avec le CSCB, En savoir plus…
Atelier filles/garçons : égalité?
En partenariat avec le CSCB, En savoir plus…
Thème – instruire et former, initier à des sujets particuliers de connaissances le public
En partenariat avec le CSCB, En savoir plus…
Vous avez un peu de temps à partager, vous êtes bien sûr concerné par la vie sociale, vous ressentez peut-être une envie de vous sentir utile et, par hasard, vous croisez la route de Wei Ying Thang, l’éminente cheville ouvrière d’ADS. Il y a fort à parier que, quelques semaines plus tard, vous aurez trouvé une nouvelle raison de vous lever le matin.
C’est en s’époumonant dans la même chorale que Wei-Ying et Catherine Enault se sont rencontrées. Catherine, jeune retraitée après une carrière d’infirmière en psychiatrie, était soucieuse de rester active en s’occupant des autres, avec des activités sportives et même une petite expérience d’alphabétisation à Arcueil, trop vite interrompue par la covid.
Cette rencontre avec Wei-Ying semblait donc prédestinée et il ne fallut pas longtemps pour qu’une réunion, en avril 2023, soit organisée avec Christine, responsable du groupe Molière d’ADS, chargé en particulier de l’insertion par la pratique du français, écrit ou oral, pour les jeunes dont ce n’est pas la langue maternelle.
Dès le mois de juillet, Catherine avait rendez-vous avec une éducatrice de l’association Esperem et se retrouvait bientôt face à deux jeunes d’environ 16 ans pour le premier de ses deux cours d’alphabétisation hebdomadaires d’une heure et demi. Cette première mission se termina au bout d’un mois et demi, les deux « élèves » partant en formation.
Les cours ne reprendront qu’en avril 2024, cette fois-ci pour un groupe de six adolescents. N’ayant aucune directive particulière, Catherine prend l’initiative de demander aux jeunes ce qu’ils désirent. Le groupe, plutôt dynamique, s’entend rapidement pour demander une aide à l’écrit en français, seul l’un d’entre eux souhaitant une aide en calcul. Pas de problème, le cours collectif, en dehors de dictées et autres exercices d’écriture, va donc intégrer quelques exercices de calcul. Ces jeunes, qui maitrisent assez bien le français, préparent pour la plupart un CAP ou sont en recherche d’un premier emploi. Ils s’essayent donc avec sérieux à la maîtrise de l’écriture et les échanges avec Catherine se passent plutôt bien.
Le principal problème, pour Catherine, réside dans la difficulté de préparer ses interventions, ne sachant pas toujours à l’avance à combien d’élèves elle va s’adresser. Ces jeunes, tous volontaires, n’ont aucune véritable obligation de suivre ces cours. Viennent ceux qui peuvent, ceux qui veulent, et si ces absences sont toujours justifiées par une autre occupation, les imprévus ne sont pas rares. Seule l’équipe d’Esperem prend parfois le temps de passer un coup de fil pour secouer les absents.
En novembre 2024, la nouvelle « rentrée » n’intéresse plus que 3 « élèves » et les cours « collectifs » se transforment finalement en 2 cours individuels à la demande des responsables d’Esperem, un des trois élèves, ayant réussi son CAP, ne se consacrant plus qu’à la recherche d’un emploi. Ce passage en cours individuels avait de toute façon la préférence de Catherine.
Entre temps, en décembre 2023, ADS avait confié à Catherine une autre mission auprès du REP (Relais enfants/parents). Là, il s’agissait de donner des cours d’alphabétisation à deux jeunes femmes seules, souffrant d’une maladie chronique et soignées en France. Le fait que l’une d’elles ne savait ni lire, ni écrire, ne facilitait pas vraiment le cours « collectif » de deux personnes, mais les bénévoles savent toujours faire face.
« La principale qualité à laquelle doit s’astreindre un ou une bénévole, reconnait Catherine, c’est de savoir continuellement s’adapter à de nouvelles situations imprévues, Il faut toujours faire avec … Faire parfois avec le manque de motivation des jeunes que l’on doit aider, souvent avec leur manque d’assiduité. Faire avec l’impossibilité de préparer sérieusement des « cours » quand on ignore le nombre « d’élèves » que nous allons trouver. Faire avec des jeunes qui semblent ne donner aucune suite à nos demandes. Faire avec une communication parfois difficile avec le personnel de certaines structures aidées, au fait que les questions posées peuvent être laissées lettre morte ».
Au sein même d’ADS, Catherine souhaiterait que des réunions régulières avec les autres bénévoles du groupe Molière, ou même des autres groupes, soient instituées, au moins pour échanger quelques expériences, mais la diversité des calendriers de chacun rend la chose difficile. Les échanges ne se font qu’à l’occasion, individuellement. Elle a pu connaître les bénévoles intervenant sur le même site début novembre, le jour de la répartition des missions de chacun, le point de départ à de futurs échanges peut-être.
Malgré ces « petits » problèmes, le besoin de se sentir utile, pour Catherine, reste intact, tout comme la stimulation intellectuelle née des réussites comme des échecs. Reste enfin, essentielle, la reconnaissance et les remerciements que lui adressent les jeunes et les éducateurs des structures aidées.
Ce jeudi 7 novembre 2024 marquait la journée nationale de lutte contre le harcèlement à l’école entre élèves.
A cette occasion, l’ADS en partenariat avec le CAEL organisait le vendredi 8 novembre une rencontre débat avec pour but de prévenir les parents sur des situations qui doivent retenir leur attention dès que leur enfant change de comportement.
Céline Moreau, psychologue et deux intervenantes de l’association Claf’outils sont intervenues pour sensibiliser les parents et être à l’écoute. Ne pas rester isolé et croiser son ressenti avec son entourage pour faire une alliance avec son enfant.
Deux intermèdes chorégraphiques sur ce thème composés par Lauriane Hellegouarch, professeure au CAEL, et dansés par ses élèves sont venus compléter cette soirée. En savoir plus…
ADS s’associe avec le CAEL En savoir plus…
Le corps de mon enfant, En savoir plus…
Bonjour !
Je m’appelle Alexis et je suis étudiant en 2ème année d’école d’ingénieurs à l’EPF Paris-Cachan. Dans le cadre de ma seconde année, je devais effectuer un stage engagement citoyen au sein d’une association dans le but d’acquérir une expérience citoyenne et sociale de terrain.
L’association ADS BLR m’a proposé un stage pour sa communication, domaine pour lequel j’avais montré une grande motivation et des compétences multiples. Il s’agissait de préparer les supports de communication (affiches, banderole, flyer, vidéos) pour le forum des associations de septembre. De plus, pour me permettre de participer aux activités d’ADS, j’avais également des cours de soutien scolaire à assurer.
Ce stage d’un mois fût très intéressant. Au-delà du fait de développer mes compétences sur les logiciels de communication, j’ai pu rencontrer et découvrir des parcours divers et variés. Avant mon stage, je n’avais aucune idée de l’organisation dans une association. Maintenant, j’en ai une idée plus claire et contrairement à ce que j’aurai pu croire, il y a beaucoup plus de personnes impliquées dans une association qu’on ne le pense.
Je suis très content d’avoir pu faire connaissance avec autant de personnes. Cette expérience fût une superbe découverte de la vie associative. Et je remercie ADS de m’avoir accueilli en tant que stagiaire.
Pendant le mois de juin, nous avons eu la chance d’effectuer un stage au sein d’ADS. Il s’agit d’un stage d’engagement citoyen dans le cadre de notre école, l’EPF.
Au cours de cette expérience, nous avons eu l’occasion de participer à diverses activités qui ont grandement contribué à notre engagement envers la société.
L’un des aspects les plus marquants de notre stage a été notre engagement en tant que tuteurs auprès d’un jeune élève de troisième préparant le brevet. Nous avons pu lui apporter notre soutien tout au long de sa préparation. Nous l’avons d’abord aidé pour son oral, puis en lui donnant des cours de français et de mathématiques.
En parallèle, nous avons également eu la chance de mener des entretiens avec plusieurs bénévoles, partenaires et bénéficiaires d’ADS. Ces rencontres nous ont permis de recueillir en vidéo des témoignages passionnants et inspirants, que nous avons ensuite retranscrits par des montages de films et textes pour les réseaux sociaux de l’association.
Effectuer un stage chez ADS fut une expérience extrêmement enrichissante pour tous les deux.
En nous engageant dans cette association nous ne pensions pas être autant impliqué dans ses activités. Ce fut tout simplement un plaisir de pouvoir aider des plus jeunes en difficulté, de pouvoir transmettre nos connaissances et de les aider à comprendre des thèmes importants dans leurs apprentissages. Nous nous rendions chaque jour à ces cours dans l’optique de pouvoir transmettre quelque chose d’utile.
Et le plaisir était d’autant plus grand lorsque nous voyions les résultats. Nous pensons à ce jeune que nous aidions à réviser son brevet qui nous appela à la sortie de son oral pour nous dire que ça c’était super bien passé et que le jury avait trouvé son oral excellent. Nous avons été très contents pour lui et ce fut une vraie joie également de le voir fier d’avoir réussi.
Lors de la prise de vue et de l’enregistrement des témoignages des bénévoles d’ADS, nous avons pu également apprendre beaucoup de choses très belles notamment concernant les actions effectuées par cette association et c’était très beau d’être entouré de toutes ces personnes qui s’engagent au quotidien auprès de personnes dans le besoin.
La partie de notre stage sur les réseaux sociaux fut moins enrichissante mais tout aussi plaisante à travailler. C’était très sympathique de travailler sur la visibilité d’ADS sur Instagram.
Hélie et Paul
Le spectacle donné à l’Agoreine le 15 juin dernier par des élèves de CM1 de l’école Lallier de l’Haÿ-les-Roses et de l’école de la République de Bourg-la-Reine a été un vrai succès.
Plus de 150 élèves, principalement de l’école de la République, étaient venus avec leurs enseignants et quelques parents accompagnateurs assister au spectacle.
Le spectacle présenté a été conçu à partir de travaux de classes élémentaires de l’école Lallier de l’Haÿ-les-Roses, de l’école de la République de Bourg-la-Reine, et de l’école Pajeaud d’Antony.
Il s’agissait de scénettes, lectures, films… autour des thèmes suivants :
Et pour faire participer tous les enfants dans la salle, un quiz a été animé à partir de portraits « Femmes d’Exception » de H3llly.
Ce spectacle est l’aboutissement du projet porté par le groupe Égalité Femmes Hommes de l’Association BLR Dynamique et Solidaire et organisé avec le soutien de la Mairie de Bourg-la-Reine.
Nous remercions tous les participants et espérons qu’il suscitera la naissance de nouveaux projets pour l’année prochaine.
Ce film raconte le quotidien En savoir plus…
Nous sommes trois lycéennes : Naya, Yuni et Lily Rose et nous avons assisté à la conférence-débat du 27 Novembre 2021 sur la thématique “Comment protéger les enfants des violences ?” avec l’association ADS BLR.
Éléonore Lepez psychologue, nous a d’abord défini les gestes considérés comme de la violence et les conséquences sur l’enfant/l’adolescence de ceux-ci. Ensuite, la magistrate Claire Horeau nous a montré comment signaler des violences faites sur un proche/une connaissance, le processus de signalement et les conséquences de ces signalements. Et pour finir, une directrice d’un service d’accueil familial nous a parlé du processus de placement dans des familles, des mesures qui existent pour protéger les enfants dans des foyers, familles, etc…
Nous avons aussi eu la chance d’écouter plusieurs compositions musicales à propos des violences faites aux enfants, avec les voix de Magali Bar (qui jouait aussi le piano) et Manuel Boujon (compositeur).
De notre point de vue d’adolescentes, la conférence nous a permis de se rendre compte de certaines choses que nous pensions normales, mais qui ne le sont pourtant pas. Nous avons aussi compris la sensibilité d’un enfant et l’importance de le protéger car c’est un être en construction, fragile, et le violenter le laisserait blessé.
Nous avions très peu de connaissances sur le sujet car nous n’avions jamais été sensibilisées dessus. Dans notre lycée, il y a souvent des intervenants qui viennent pour nous parler de plusieurs sujets comme les dangers des réseaux sociaux, de la consommation d’alcool, du tabac, etc… Mais jamais sur la protection de l’enfant. Nous avons donc trouvé que c’est un sujet que l’on devrait parler surtout à nous, adolescents et futures adultes.Il est essentiel de sensibiliser les jeunes pour tout d’abord repérer les potentielles violences mais aussi les prévenir.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.