Mémoire des dernières cabines téléphoniques En savoir plus…
Exposition photo-poésie Allô
Mémoire des dernières cabines téléphoniques En savoir plus…
Mémoire des dernières cabines téléphoniques En savoir plus…
Quand confinement rime avec pinceaux En savoir plus…
Il suffisait d’ouvrir sa fenêtre ces derniers jours pour se rendre à l’évidence : le climat n’est plus vraiment ce qu’il était et la fameuse phrase de nos aînés : « Il n’y a plus de saison » ne prête plus à rire.

Sur tous les continents, inondations soudaines, tempêtes, incendies incontrôlables se suivent à une fréquence de plus en plus rapide et nos responsables politiques se réunissent tout aussi fréquemment pour tenir des propos alarmistes et fixer des objectifs, rarement observés.
Le constat semble pourtant partagé par tous : au banc des accusés, nos émissions de gaz à effet de serre, principales causes du réchauffement climatique. Ainsi, stabiliser dans les prochaines décennies la hausse des températures et rétablir davantage de biodiversité représente un enjeu majeur de solidarité internationale et intergénérationnelle.
Tout le monde semble d’accord sur cet objectif, mais beaucoup moins d’accord sur les moyens d’y parvenir.
Devant l’inertie du monde politique, d’autres responsables, chercheurs ou écologistes, se tournent vers le grand public, non seulement pour lui faire prendre conscience du péril, mais aussi pour le convaincre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans ce domaine.
C’est dans ce but que Christophe Brun, physicien et chercheur au CNRS à Sorbonne Université a présenté quelques éléments du rapport de GIEC (groupe d’experts intergouvernementaux sur le climat) publié en 2018.
Puis à l’aide de tableaux très clairs, il a mis en évidence l’incidence de nos habitudes de vie sur le taux d’émission de gaz à effet de serre. Sans surprise, on pourra constater que les habitudes de vie et les modes de consommation de 10% de la population mondiale, les plus riches, sont responsables de près de la moitié de la totalité des émissions de gaz à effet de serre, et on ne s’étonnera pas plus que la moitié de la population mondiale, les plus pauvres, ne sont « responsables » que de 10% de ces émissions.
Pour atteindre l’objectif de réduction de 60% des émissions actuelles d’ici 2030, il faudrait que chaque Français ne dépasse pas l’émission de 5 tonnes de gaz à effet de serre annuellement. Pour viser la neutralité carbone dans la seconde moitié du siècle après 2050, il faudrait que chaque être humain ne dépasse pas l’émission de 2 tonnes de gaz à effet de serre annuellement et c’est malheureusement ce qu’émet un simple aller-retour Paris/ New-York en avion. 
On comprend donc que si chacun a un rôle à jouer, certains ont un rôle plus important que d’autres. Tout le monde n’a pas la latitude de changer ses habitudes, mais chacun peut avoir un petit rôle, ne serait-ce que pour servir d’exemple. Chacun, du moins dans les pays développés, pourrait par exemple changer quelques habitudes en ce qui concerne nos trois mauvais génies : le transport, le logement, la nourriture, sans compter d’autres biens de consommation courante, des petits changements qui pourraient modifier dans le bon sens l’offre de produits et qui étaient d’ailleurs depuis longtemps conseillés par les médecins ou écologistes, avant même l’annonce de la catastrophe probable si les plus riches et les politiques continuent à regarder ailleurs, comme le disait Chirac.
Les exemples ont été nombreux et parlant pour tous. Vous trouverez ces chiffres et ces tableaux dans la présentation de Christophe Brun et il ne fait nul doute que la vingtaine de participants à ce café-débat aura trouvé matière à réflexion, et n’attendra pas la période des bonnes résolutions de fin d’année pour changer ses propres habitudes productrices de trop de gaz à effet de serre.
L’opportunité de rencontrer l’artiste et En savoir plus…
Karen Torres, ayant quitté récemment son poste de chef de service au CHRS Auxilia, a bien voulu, à notre invitation, évoquer quelques souvenirs du partenariat entre le CHRS et ADS
Lorsque je suis arrivée à Auxilia pour ma prise de fonction, Vinciane, éducatrice, m’a fait un rapport très positif des relations qu’Auxilia entretenait avec les responsables et bénévoles d’ADS. Je me suis rapidement rendu compte de l’importance que cette association avait prise dans le quotidien d’Auxilia grâce à l’organisation de différentes activités, individuelles ou collectives, favorisant la réinsertion sociale de la vingtaine de résidentes hébergées actuellement
Dans la petite vidéo présentant certaines de ces activités, j’ai employé le terme de « couteau suisse » pour qualifier la nature de cette aide. En effet, j’ai le sentiment qu’on pouvait toujours trouver auprès d’ADS, une ou plusieurs solutions pour répondre à un besoin, de quelque nature qu’il soit.
De plus, ce qui est très encourageant et même bluffant, peu importe notre besoin, la réponse commençait toujours par « nous allons chercher un bénévole » ou « je pense à quelque chose », avant même d’en étudier la réalisation.
Le succès de ce partenariat, selon moi, repose sur le fait qu’avec le temps s’est tissée une confiance réciproque totale.
Nous ne pouvions pas tout faire mais nous pouvions au moins tout se dire, tout envisager sans crainte d’un refus ou d’un échec. Toute nouvelle idée d’activité, collective ou individuelle, que ça soit une demande d’Auxilia ou une proposition d’ADS, était toujours discutée.
Cette relation, et les échanges constants d’Auxilia avec la responsable des bénévoles, a permis de n’avoir jamais le moindre problème sur le rôle respectif des bénévoles de l’ADS et des éducateurs et éducatrices d’Auxilia
Il m’est arrivé de vivre dans d’autres institutions des malentendus désagréables quand les éducateurs considéraient que les bénévoles outrepassaient leur rôle, parfois en toute bonne foi, en particulier quand ils recherchaient sans prudence à rentrer dans la vie personnelle des personnes aidées. Je n’ai pas le souvenir d’un tel problème avec les bénévoles de l’ADS.
Ce respect mutuel du rôle de chacun, cette complémentarité, était largement dû à la très grande et rapide faculté d’adaptation des bénévoles de l’ADS aux besoins spécifiques des résidentes. Il est arrivé que, à la suite d’un échange entre une éducatrice et une bénévole, l’activité collective suivie par une résidente se transforme, pour elle, en activité individuelle.
Ce partenariat a non seulement bénéficié aux résidentes, mais également aux éducatrices ou éducateurs et plus généralement aux responsables d’Auxilia qui ont pu ainsi se consacrer plus régulièrement à leurs missions premières : assurer les contraintes administratives diverses avec les organismes de tutelle et surtout assurer le suivi de la vie quotidienne des résidentes
En outre, le regard et le contact avec des personnes extérieures aux métiers du social et riches de leurs expériences professionnelles et personnelles apporte sans aucun doute une ouverture et une réflexion différentes qui permettent aux travailleurs sociaux d’enrichir leurs connaissances des résidentes.
Cette capacité à comprendre qu’en soutenant telle ou telle activité, individuelle ou collective, les bénévoles soutenaient en fait toute l’activité d’Auxilia a été particulièrement appréciée.
On peut dire que le partenariat avec ADS est aujourd’hui indispensable pour Auxilia.
Je n’ai qu’un petit regret après avoir quitté Auxilia, celui de ne pas avoir pu mettre sur pied une véritable salle informatique dans les locaux, une salle qui aurait pu servir aussi bien aux éducatrices qu’aux résidentes, où on aurait pu faire du soutien collectif ou individuel à l’apprentissage des outils numériques, mais aussi du soutien à la rédaction de CV pour des recherches d’emploi, des lettres de motivation, etc…
Mais il n’est peut-être pas trop tard……
Réduisons nos émissions de gaz En savoir plus…
Le débat, animé par Christophe du groupe EFH, a démarré par une introduction sur ce que sont les stéréotypes de genre et leur importance dans notre société contemporaine : un stéréotype de genre est une idée préconçue ou une opinion toute faite qui a pour effet de réduire les particularités, les capacités ou les potentialités d’une fille ou d’un garçon. Différents exemples de stéréotypes connus ont été donnés. Il a terminé son introduction en mentionnant que le sujet des stéréotypes de genre est un thème central pour avancer notamment sur le chemin de l’égalité fille-garçon.
Lou, lycéenne a ensuite fait part de ses constats et de son analyse des stéréotypes de genre présents au lycée. Elle a invité deux de ses camarades à témoigner avec elle ; ils ont mis en évidence les conséquences de ces stéréotypes pour les filles et les garçons. Globalement, ceux-ci ne favorisent pas une mixité fille-garçon épanouie et libérée. Ils agissent comme des contraintes à travers lesquelles les jeunes doivent adapter leurs attitudes et comportements entre jeunes ou en classe, leur apparence corporelle, vestimentaire pour se conformer à une norme acceptée par le groupe. Ces contraintes peuvent avoir des conséquences délétères importantes telles que le harcèlement qui peut survenir lorsqu’une personne se trouve d’une manière ou d’une autre jugée « hors-norme » par les autres. Ces stéréotypes pèsent (fortement) sur l’estime qu’ont les jeunes de leurs propres capacités scolaires et déterminent largement l’orientation scolaire des jeunes entre filières scientifiques ou littéraires.
S’en est suivi un débat nourri par de nombreuses réactions et échanges entre les participants de toutes générations.
Un temps de discussion a ensuite été consacré à la formulation de proposition d’actions visant à lutter contre les stéréotypes de genre.
Vous trouverez, en cliquant sur le lien suivant, le compte rendu détaillé de ce café-débat qui reprend les nombreux exemples cités, le contenu des échanges et la teneur des propositions mises en avant.
Plus de 5 ans après En savoir plus…
Cette page est réservée aux adhérents et bénévoles de l’association.

Pour pouvoir y accéder : connectez-vous !
Comment et par qui cette proposition a-t-elle été avancée ? Nul ne s’en souvient, ce devait être à une époque très lointaine, sans doute en mai 2020, car cette réunion du conseil d’administration nous réunissait autour d’une table, masqués quand même.
Cherchant des idées pour mieux faire connaître objectifs et missions de l’ADS, quelqu’un lança:
« Et pourquoi ne pas faire une vidéo à diffuser sur différents forums ou différentes réunions? »
Un autre répliqua:
« Quelqu’un a-t-il déjà tourné une vidéo? »

Aucune main ne se leva. Un petit groupe se saisit pourtant de l’idée et, avec pour seule connaissance sur le sujet qu’une vidéo ne doit pas dépasser 6 minutes pour maintenir l’attention, un vague plan de travail est rapidement élaboré dès la fin du mois de juin : Isoler les principales missions de l’association, rédiger un premier script pour rythmer cette présentation, sélectionner quelques intervenants et surtout se trouver un réalisateur pour profiter d’un soutien technique car aucun de nous n’a effectivement de connaissances pratiques sur la réalisation d’une vidéo.
Wei Ying a immédiatement l’idée de contacter l’IUT de Sceaux, fidèle partenaire de l’ADS, pour solliciter la coopération technique des étudiants en communication.
Tout va alors assez vite….
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.