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Portrait de Léa Corcos, artiste-peintre, 10 novembre 2021

La technique du couteau au temps de la pandémie

Léa Corcos, qui a présenté ses œuvres sur les murs du Crédit mutuel du 3 juillet au 10 novembre 2021, dans les conditions difficiles des restrictions sanitaires, réalisait là sa première exposition et affiche cette qualité assez rare chez les artistes d’allier tout à la fois talent et modestie. Ne s’affichant pas vraiment comme une artiste, elle déclare d’emblée, comme une évidence : « Tout le monde peut peindre ».

Initiée très jeune à la peinture, plus précisément à la technique du couteau, par son grand-père Henri Dehen, neurologue, Léa s’y consacre comme un simple passe-temps partagé avec son grand-père. Le décès de ce dernier, en 2006, va d’ailleurs interrompre un moment la pratique de ce hobby, Léa se consacrant alors principalement à sa carrière de marketing dans le domaine du cinéma, ne peignant qu’en de très rares occasions.

Survient alors, en 2020, l’irruption de la pandémie de Covid. Les cinémas ferment, Léa se retrouve en chômage technique et, pour se désennuyer, ressort ses pinceaux, achète quelques toiles, consulte sur YouTube plusieurs tutoriels pour découvrir de nouvelles pratiques picturales mais revient vite à la technique du couteau pour se remettre à la création et rendre le confinement moins pénible. Admiratrice de Nicolas de Staël, Léa Corcos en adopte l’équilibre de structure au service d’une diversité maitrisée de couleurs.

Il n’est alors pas question d’exposition, ni même de ventes. Léa peint, c’est tout, tout comme son grand-père qui n’avait jamais ni exposé, ni vendu, rangeant simplement ses toiles dans ses placards. Presque par jeu, Léa accepte pourtant un jour de vendre un des ses tableaux à sa belle-mère, puis à quelques amis. Sa belle-mère, devenue sa principale admiratrice et son principal soutien, propose alors à ADS d’organiser une exposition de ses œuvres malgré les restrictions sanitaires de la période. Prévenue guère plus de 15 jours avant le début de l’exposition, Léa n’a pas malheureusement pas beaucoup de tableaux à exposer, ni beaucoup de temps pour en réaliser d’autres et doit faire le tour des amis auxquels elle avait vendu ses tableaux pour réunir une vingtaine de toiles. C’est ainsi que la spécialiste du marketing, sans le vouloir, va pouvoir afficher le jour du vernissage le mot « vendu » sur les cartels des trois-quarts des tableaux exposés, mention qui, en plus du simple talent de l’artiste, ne manquera pas d’impressionner favorablement les visiteurs. Léa trouvera heureusement le temps, pendant l’exposition, d’ajouter sur les murs du Crédit Mutuel quatre nouvelles toiles qui trouveront rapidement des acheteurs.

Léa Corcos, qui assure ne pas toujours aimer son travail, est presque étonnée de ce succès. Passionnée également par la décoration intérieure, ayant expérimenté pour elle-même l’importance du mariage entre mobilier et œuvres picturales, elle refuse le dédain souvent affiché par les peintres vis-à-vis de la décoration. Bravant l’opinion de Picasso affirmant que la peinture n’est pas faite pour décorer les murs d’un appartement, Léa n’hésite pas, sur son compte instagram, à proposer aux clients de choisir pour leur futur tableau les couleurs pouvant se marier au mieux avec leur intérieur. Pas vraiment tourmentée comme il est souvent de bon ton pour les artistes, ce qu’aime Léa, c’est surtout faire plaisir et la demande d’une grand-mère, souhaitant une toile reprenant les couleurs d’un bouquet de fleurs offert par son petit-fils, restera un de ses meilleurs souvenirs d’artiste, une artiste décidément pas conventionnelle.

3 ans de soutien par ADS, Asta témoigne, Janvier 2019 – Octobre 2021

Bien plus qu’un soutien….

Je me suis décidée à fuir mon pays en 2016. La Centrafrique était plongée depuis déjà des années dans une guerre civile entre bandes armées. Aucun avenir n’était envisageable. J’ai laissé provisoirement mes enfants à la garde de mes parents et je suis partie seule pour la France, sans projet véritable, juste dans l’espoir de trouver un avenir possible et de créer les conditions pour que mes enfants me rejoignent rapidement. Je suis arrivée à Paris le 7 août 2016, accueillie par mon beau-frère. J’avais heureusement des contacts auprès d’amis dans la région parisienne et pendant la première année, j’ai dû vivre chez les uns et les autres, pour quelques jours ou quelques semaines.

Ma principale préoccupation, en dehors du logement, fut déjà de régulariser mon statut de migrante, ce qui n’est pas simple sans adresse fixe ni travail. Ce n’est qu’au bout d’un an de démarches incessantes que j’ai réussi à obtenir une autorisation de séjour de 10 ans. Cette régularisation marqua le début de mon insertion. J’ai pu enfin m’inscrire à Pôle Emploi en espérant trouver rapidement un travail auprès de bébés ou de jeunes enfants, ce que je faisais déjà en Centrafrique. En France, c’était déjà plus compliqué. Pôle emploi m’a vite fait comprendre que, sans diplôme, sans qualification, sans expérience reconnue, et surtout sans maîtriser parfaitement le français, je n’avais pas beaucoup de chances de trouver un emploi rapidement. J’ai donc commencé à Asnières, grâce à Pôle Emploi, une remise à niveau en français, tout en faisant des ménages et en m’occupant de personnes âgées. C’est à cette époque que le CCAS m’a proposé un hébergement à Bourg La Reine, au CHRS Auxilia, et c’est là que j’ai eu un premier contact avec l’association ADS.

Je trouvais enfin des gens qui allaient m’ouvrir plusieurs portes, non seulement pour m’apporter un soutien continu dans ma recherche d’emploi, pour me conseiller, mais aussi pour me faire découvrir des tas d’activités qui m’ont donné une nouvelle confiance en moi. Grâce à des cours de français et la rédaction d’un CV avec Michel Giraud, l’association m’a permis de signer un contrat de professionnalisation avec l’agence Babychou pour travailler comme auxiliaire parentale, puis m’a poussée à préparer un CAP, Certificat d’Aptitude Professionnelle pour la petite enfance. Durant cette formation, Michel Pays m’a beaucoup aidée pour préparer le CAP que je menais en alternance avec un travail comme auxiliaire parentale.

En juillet 2020, quatre ans après mon arrivée en France, je passais avec succès mon CAP petite enfance, un premier diplôme que je n’ai malheureusement pas pu fêter avec mes amis comme il se doit, c’était le début du premier confinement. Je devais faire des stages de qualification et le soutien d’ADS s’est poursuivi, et s’est concrétisé pour cette rentrée de septembre 2021 par un emploi à la crèche municipale de Chatenay-Malabry après une période d’essai d’un mois suivie d’un CDD de 6 mois. Je suis donc maintenant officiellement agent technique auxiliaire auprès de bébés de 6 à 11 mois. Je m’occupe, avec une collègue référente, de l’accueil des parents, des jeux avec les bébés, des repas, de la sieste … Tout se passe bien ! et en plus, je viens de quitter Auxilia pour un logement autonome … enfin chez moi !

Je dois ajouter que l’association ADS m’a apporté bien plus qu’un simple soutien pour ce parcours professionnel. En suivant de nouvelles activités, c’est aussi une nouvelle vie que j’ai pu découvrir en suivant avec passion la plupart des activités proposées par les bénévoles d’ADS, des activités que je n’avais jamais envisagées, dont j’ignorais souvent tout. J’ai pu faire ainsi de la peinture, de la couture, fabriquer des bracelets, faire du Yoga, de la sophrologie, une activité que je pratique encore. J’avais une véritable boulimie d’activités…J’ai même participé à la construction d’un poulailler malgré le peu de sympathie que m’inspirent les poules.

Aujourd’hui  je peux dire que j’ai trouvé auprès des responsables et des bénévoles d’ADS une véritable famille. Je n’oublie pas pour autant ma vraie famille et mes enfants. Mon plus grand espoir, mon prochain but, c’est de réunir les conditions pour recevoir au plus vite mes enfants restés en Afrique, dès que j’aurai trouvé un logement plus grand que celui que j’occupe actuellement à Meudon.

Je voudrais envoyer un petit message à ma nouvelle famille, aux bénévoles d’ADS mais aussi aux personnes aidées par ADS : surtout, ne vous découragez jamais. J’ai pu constater que certaines personnes bénéficiant du soutien de l’association considèrent ce soutien comme un dû et ne font pas toujours d’effort pour faciliter le travail des bénévoles, en arrivant en retard, en ne respectant pas toujours les rendez-vous, ce qui entraîne parfois un sentiment de découragement pour le bénévole. Il n’est pas toujours facile d’avouer le besoin d’un soutien tout comme il n’est pas toujours facile d’apporter ce soutien. Des deux côtés, cela demande du courage.

Je pense ne m’être jamais découragée, n’avoir jamais douté. J’envisage d’ailleurs de proposer à Wei Ying de devenir bénévole à mon tour, pour initier à la cuisine africaine … Voilà, le message est lancé.

Semaine internationale de lutte contre les violences envers les femmes, 25 novembre 2021

ADS se mobilise pour en finir avec les violences  envers les femmes

Le groupe égalité femmes hommes d’ADS s’est de nouveau fortement impliqué  dans le cadre de la semaine de lutte contre les violences envers les femmes, objectif élargi cette année à toutes les violences sexistes et sexuelles: homophobie, transphobie, pédophilie, inceste….qui touchent un nombre considérable de personnes et plus particulièrement les femmes et les enfants.

Une présence a été assurée les samedi 13 et 20 novembre rue Roeckel à Bourg la Reine pour informer, sensibiliser, diffuser de la documentation et les numéros d’urgence à connaître. Nous avons eu de nombreux échanges notamment avec des professionnels de santé ou paramédicaux, des enseignants, des groupes de jeunes  qui sont repartis avec du matériel leur permettant de communiquer auprès de leur entourage ( plaquette réalisée par la mairie de Bourg la reine Plaquette BLR Lutte VFF, campagnes du centre ressource Hubertine Auclert Centre Hubertine Auclert | Centre francilien pour l’égalité femmes-hommes (centre-hubertine-auclert.fr)et des associations spécialisées. Nous avons également à cette occasion recueillis plusieurs témoignages de femmes victimes ou de citoyens touchés dans leur entourage par ce fléau.

Certaines d’entre nous ont également participé le samedi 20 novembre après midi à la grande manifestation organisée par le collectif « Nous toutes » qui avait lieu à Paris ( il y en avait dans toute la France) pour réclamer des moyens importants pour l’accompagnement des femmes,  lieux d’écoute et d’ hébergement si nécessaire, pour la formation des professionnels ( policiers, personnels de justice, professionnels de l’éducation et des centres sociaux..).

manifestation contre la violence envers les femmesLes violences envers les femmes et toutes les formes de violences sexistes et sexuelles ne sont pas inéluctables. L’exemple de l’Espagne qui a dégagé plus d’un milliard pour mettre en place des dispositifs spécifiques,  qui ont notamment permis de diminuer de façon significative le nombre de féminicide, le prouve.

Le groupe permanent égalité femmes-hommes de l’association ADS porte depuis sa création cet objectif en proposant toute l’année des actions de sensibilisation ou en participant à celles proposées par ses partenaires municipaux ou associatifs.

Une de nos adhérente,  nous a fait parvenir un poème qu’elle a réalisé cette année sur ce thème, nous le partageons avec vous:  Poème  sur les violences conjugales

Projection-débat « Choisir sa fin de vie » 14 octobre 2021

Un documentaire suivi d’une conférence

ADS a choisi d’aborder le thème de la fin de vie, un thème délicat qui nous touche tous. Cette soirée, organisée par Anne-Marie Lambert et Marianne Lederer, fait suite au café-débat du 10/10/2020 dont la conclusion avait été de poursuivre par une conférence ouverte au public, et d’aborder le thème à partir d’un film. Le choix s’est porté sur la projection du documentaire d’Anne Georget, « Quand un homme demande à mourir » (2011).

La salle Dolto a accueilli quarante personnes venues de Bourg-la-Reine et des environs pour cette soirée, un public de personnes se sentant concernées et des personnes des associations « Le Choix », « ADMD », ou « Ultime Liberté ».

La soirée a débuté par la projection du documentaire, suivie d’une conférence d’Emmanuelle Huisman-Perrin, professeur de philosophie. Le documentaire est avant tout un témoignage, témoignage d’un homme d’une cinquantaine d’années atteint d’un locked-in syndrome (syndrome d’enfermement dans un corps qui ne répond plus – tétraplégie et incapacité à parler, à communiquer sauf par mouvements oculaires codés – ou, dans ce cas-ci,  par le mouvement d’un seul doigt), témoignage d’une famille, sa femme, ses filles, son frère, sa belle-sœur qui l’accompagnent pendant son long combat et acceptent, par amour pour lui, son désir de mettre fin à sa vie. En savoir plus…

Café-Débat Logement social et mal logement, 4 octobre 2021

Logement social et mal logement (Partie 1)

Une bonne vingtaine de personnes a suivi le café-débat sur la situation du mal logement dans la Métropole du Grand Paris proposé le 4 octobre par Olivier Gueudré de l’ADS, et Pierre Maréchal, de l’Observatoire de la précarité et du Mal Logement. L’état des lieux a été présenté grâce à la projection de quelques 80 tableaux, chiffres et pourcentages comparatifs.  

Compte tenu de la complexité du sujet, cette présentation a réclamé beaucoup de pédagogie de la part d’Olivier Gueudré pour ne pas perdre son auditoire dans les multiples acteurs et sigles peu compréhensibles pour tout citoyen non averti. Le public, qui a posé un grand nombre de questions très précises, semblait compter heureusement plus de personnes déjà familières du sujet que de mal logés.

Pour les néophytes, cette présentation aura permis de comprendre que le problème du mal logement occupe et préoccupe de multiples services de l’Etat, des élus au niveau local et national, de nombreuses associations, des syndicats, des entreprises du bâtiment, des bailleurs … autant d’institutions qui se concertent dans des structures aux sigles barbares pour tenter de réduire la conséquence fatale de la précarité et de la pauvreté : la difficulté de se loger. On comprend également que face à la pénurie de logements sociaux, malheureusement, les plus pauvres ne sont pas les mieux servis, les bailleurs devant quand même rentrer dans leurs frais.

La situation des Hauts de Seine et de Bourg-la-Reine fut naturellement mise en avant, notre commune, bien que pas vraiment représentative de l’ensemble du problème du mal logement, offrant quand même l’exemple classique d’un système qui concerne toutes les communes. Un système, de l’aveu même des conférenciers, extrêmement compliqué, pesant et mouvant.

Que pouvait-on retenir de la situation à Bourg-la-Reine, commune privilégiée ?

  • Que le parc de logement social est vieillissant, la plupart des logements datant d’avant 1979.
  • Que la tradition des logements sociaux intégrés aux grands ensembles a vécu. Les nouvelles réalisations, mieux réparties dans le tissu urbain, ne correspondent pourtant pas assez à la demande, en particulier en ce qui concerne les petits logements pour célibataires, étudiants ou familles monoparentales, et surtout avec des faibles revenus.
  • Que Bourg-La-Reine ne remplit pas son obligation de respecter un taux légal de logements sociaux prévu par la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain). Ce qui pourrait entraîner un arrêté de carence de la part du préfet, ce qui ne se fait pas pour le moment, pour des raisons sans doute plus politiques que sociales. 
  • Que le processus d’attribution des logements sociaux est très compliqué, très long, au moins 3 ou 4 ans, dépendant de commissions multiples, de critères encore plus nombreux … dont le principal est quand même de présenter des garanties de solvabilité pour payer son loyer, et que donc les heureux bénéficiaires se recrutent en majorité parmi les plus « riches » des pauvres.

Quelques repères chiffrés et pourcentages concernant Bourg-La-Reine :

  • 330 : nombre de logements ne bénéficiant pas de système sanitaire.
  • 161 : nombre de logement surpeuplés.
  • 142 : nombre de logements du parc privé jugés « indignes ». 
    ( chiffres de 2013 )
  • 8% : taux de « pauvres » à selon les critères d’accès à une aide au logement.
  • 25,3% : taux de PIS (Profession Intellectuelle Supérieure),
  • 9221 : nombre de résidences principales
  • 4580 : propriétaires de leur logement
  • 4396 : locataires de leur logement
    ( chiffres de 2020 )
  • 1716 : nombre de logements sociaux (chiffre de 2020) : 12% datent d’avant 1946, 30% de 1965 à 1979, 8% de 1980 à1999, 18% depuis 2000.
  • 628 : nombre de logements sociaux qu’il faudrait construire pour atteindre le taux légal de 25% de logements sociaux sur la commune exigé par la loi SRU de 2013.
  • 766 : nombre de demandes d’un logement social déposées en 2018.
  • 40 : nombre d’attributions de logements sociaux la même année.
  • 40 : nombre de mois d’attente moyen pour obtenir une réponse favorable à une demande de logement.

Les données de détail se trouvent sur le site de l’Observatoire de la précarité et du mal logement.

Les permanences de l’ADS

Besoin d’aide pour vos démarches ? vos papiers administratifs ? une lettre ?

ADS vous reçoit sur RDV et sur deux lieux :
-à l’Espace Dolto.
114 Avenue du Général Leclerc, Bourg-la-Reine,
Tous les mardis matin ou les premiers, troisième et cinquième samedi de chaque mois.
Pour prendre RDV tel 06 11 91 04 99 ou par mail ads.blr92340@gmail.com

-Au Centre Social et Culturel des Blagis –
Permanence « aide aux démarches -écrivain public »
2 rue du Dr Roux, Sceaux
Prendre RDV à l’accueil du CSCB, tel 0141870610

Compagnie de la Mouette : « Très chère Mathilde » le 25/9/2021

 « La Mouette » joue à Bourg la Reine « Très chère Mathilde »

ADS a noué un partenariat avec la compagnie de « La Mouette ». La Mouette a joué des saynètes pour illustrer les « fakenews » lors de l’événement du même nom.

Laissons la parole à sa directrice :

‌‌‌ »Chers amis
Notre troupe joue à l’Agoreine à Bourg la Reine le 25 septembre 2021
Nous vous présenterons  » Très Chère Mathilde  » d’Horovitz.Les trois comédiens de la distribution (soutenus par la troupe ) et moi même avons eu beaucoup de plaisir à monter cette pièce.
Les  personnages, attachants et parfois déroutants,  de cette comédie vont durant près de deux heures jouer au jeu de la vérité et tenter de reconstituer un puzzle familial enchevêtré .
Nous sommes convaincus que vous aurez autant de plaisir lors de la représentation que nous en avons eu lors de sa mise en scène.
Nous vous espérons  le 25 septembre ….

Bien théâtralement et amicalement
Pour la troupe 
Jeannine Manant »

Téléchargez l’affiche « Très chère Mathilde »

ADS au forum des associations et du bénévolat de Bourg la Reine : 4 septembre 2021

Une journée fertile en rencontres

Pour la première fois, se tenait à Bourg-la-Reine, simultanément le forum des associations et les rencontres du bénévolat. C’est donc dans une ambiance animée, rythmée par les démonstrations sportives,  que nous avons échangé avec les réginaburgiens venus sur notre stand. 

stand ADS au forum associations BLRUne journée riche de belles rencontres avec plusieurs personnes motivées pour s’engager dans une action bénévole.

L’un a déjà commencé en se joignant à l’équipe d’aide aux collégiens du Huda Aurore, et deux autres à Auxilia pour l’accompagnement à l’emploi et  l’aide aux devoirs !   

Nous avons aussi été heureux de revoir les autres associations et reprendre le cours de nos projets communs. Nul doute que ce forum fera germer de nouvelles idées et projets !

Un grand merci à tous les bénévoles d’ADS qui se sont relayés toute la journée sur le stand pour présenter nos valeurs et la diversité de nos actions à nos visiteurs.

ADS info 14, Septembre 2021

Nos actualités, Mai – Août 2021

ADS info N°14