Cette conférence traite de la En savoir plus…
Forum des Droits de l’Homme, Conférence-débat. Migrants : les droits et la réalité
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Type action – intervention d’un ou plusieurs intervenants sur un sujet choisi.
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Le Forum des Droits de l’Homme est un ensemble de manifestations organisé à l’occasion de l’anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, à Bourg la Reine et dans les communes voisines.
Quels sont ces droits, comment sont-ils déclinés légalement, et comment sont-ils appliqués dans les faits ?
Comment les faire respecter et lutter contre les discriminations ? Dans le monde et en France ?
Tels sont les thèmes qui seront abordés au forum.
Le planning de l’ensemble des manifestations se précise.On peut distinguer 3 périodes en commençant par la dernière :
Aujourd’hui, 7 groupes de travail représentant sept associations définissent et préparent les événements, l’organisation et la programmation d’ensemble.
Des ateliers ont d’ores et déjà été lancés. Ce sont d’une part des ateliers d’écriture sur les droits et d’autre part des constructions de saynètes, basées sur des témoignages, sur les difficultés d’accès aux droits et les discriminations.
Des contacts ont également été pris avec plusieurs établissements scolaire et des enseignants feront travailler leurs classes sur des sujets liés aux droits ou aux discriminations.
Les résultats de ces ateliers seront présentés au forum et les saynètes serviront essentiellement à introduire des conférences ou tables-rondes.
Pendant cette période, à compter du 29 novembre, 5 à 6 conférences sont prévues à Antony, Sceaux et Bourg la Reine : la conférence inaugurale de la quinzaine aura lieu a priori le 29/11 avec des personnalités de premier plan impliqués dans la défense des droits.
Pendant cette même période les cinémas des communes avoisinantes sont pressentis pour passer 6 ou 7 films.
Une pièce sur le droit au logement sera jouée également.
Enfin un spectacle est prévu le vendredi 9 avec des lectures, de la musique, de la danse, des saynètes.
Un chemin des droits, balisé quelques jours auparavant, reliera la gare aux Colonnes, en passant par différents points de Bourg la Reine où seront installés des stands ou des expositions.
Une marche ou une course des droits aura lieu dans la journée avec les Colonnes en point d’arrivée.
Une partie de la salle sera réservée à des tables-rondes et des projections vidéo.
L’autre partie contiendra les différentes maisons des droits.
L’ouverture est prévue à 10 heures.
Ensuite c’est un cadencement horaire qui est prévu, avec de petites animations introductives et 6 à 7 tables-rondes de 45mn.
Il est prévu également de terminer la journée par un petit spectacle.
Nous sommes trois lycéennes : Naya, Yuni et Lily Rose et nous avons assisté à la conférence-débat du 27 Novembre 2021 sur la thématique “Comment protéger les enfants des violences ?” avec l’association ADS BLR.
Éléonore Lepez psychologue, nous a d’abord défini les gestes considérés comme de la violence et les conséquences sur l’enfant/l’adolescence de ceux-ci. Ensuite, la magistrate Claire Horeau nous a montré comment signaler des violences faites sur un proche/une connaissance, le processus de signalement et les conséquences de ces signalements. Et pour finir, une directrice d’un service d’accueil familial nous a parlé du processus de placement dans des familles, des mesures qui existent pour protéger les enfants dans des foyers, familles, etc…
Nous avons aussi eu la chance d’écouter plusieurs compositions musicales à propos des violences faites aux enfants, avec les voix de Magali Bar (qui jouait aussi le piano) et Manuel Boujon (compositeur).
De notre point de vue d’adolescentes, la conférence nous a permis de se rendre compte de certaines choses que nous pensions normales, mais qui ne le sont pourtant pas. Nous avons aussi compris la sensibilité d’un enfant et l’importance de le protéger car c’est un être en construction, fragile, et le violenter le laisserait blessé.
Nous avions très peu de connaissances sur le sujet car nous n’avions jamais été sensibilisées dessus. Dans notre lycée, il y a souvent des intervenants qui viennent pour nous parler de plusieurs sujets comme les dangers des réseaux sociaux, de la consommation d’alcool, du tabac, etc… Mais jamais sur la protection de l’enfant. Nous avons donc trouvé que c’est un sujet que l’on devrait parler surtout à nous, adolescents et futures adultes.Il est essentiel de sensibiliser les jeunes pour tout d’abord repérer les potentielles violences mais aussi les prévenir.
L’ADS a organisé une conférence-débat le 27 novembre dernier sur le thème de la protection de l’enfance : Comment protéger les enfants des violences ? en partenariat avec le Centre Culturel et Social des Blagis (CSCB) à l’occasion de la journée internationale des Droits de l’enfant. Cette journée marque le jour de l’adoption de la Déclaration des droits de l’enfant (1959) et de la Convention internationale des droits de l’enfant (1989) (CIDE) qui rappelle la prise en compte de ses besoins fondamentaux (physiques, intellectuels, sociaux et affectifs).
Un public de 40 personnes attentives a participé à l’évènement. Les nombreuses questions du débat ont témoigné de l’intérêt porté à ce sujet.
Trois invitées,
Eléonore Lepez, psychologue,
Claire Horeau, magistrate,
Et Dinora Fernandes, Directrice du service d’Accueil Familial de la Ville de Paris,
nous ont apporté leur éclairage et nous ont sensibilisé sur le repérage des signaux permettant de détecter une maltraitance subie par un enfant et les réflexes citoyens à déclencher en effectuant un signalement. La compréhension de la procédure déclenchée après signalement et du rôle de la protection de l’enfance nous a montré qu’il n’y avait pas lieu d’hésiter, les différentes mesures mises en œuvre étant là pour protéger l’enfant mais aussi pour accompagner les parents. Ce n’est que dans certains cas complexes que la justice peut être amenée à intervenir.
Enfin, les solutions mises en œuvre pour protéger les enfants et leur donner un nouveau départ ont été présentées, en particulier le placement en famille d’accueil. Le métier d’assistante familiale et l’encadrement assuré par la structure « Service d’accueil de la ville de Paris » a certainement été une « découverte » pour beaucoup. Le témoignage de la famille d’accueil présente a été très instructif .
Pour évoquer le chemin d’un enfant confronté à ces violences, Manuel Boujon (compositeur-interprète) et Magali Bar (piano-voix), ont interprété avec beaucoup de sensibilité quelques chansons et partagé beaucoup d’émotion tout au long de la séance.
Consultez la synthèse de l’évènement pour plus de détails.
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ADS a choisi d’aborder le thème de la fin de vie, un thème délicat qui nous touche tous. Cette soirée, organisée par Anne-Marie Lambert et Marianne Lederer, fait suite au café-débat du 10/10/2020 dont la conclusion avait été de poursuivre par une conférence ouverte au public, et d’abord
er le thème à partir d’un film. Le choix s’est porté sur la projection du documentaire d’Anne Georget, « Quand un homme demande à mourir » (2011).
La salle Dolto a accueilli quarante personnes venues de Bourg-la-Reine et des environs pour cette soirée, un public de personnes se sentant concernées et des personnes des associations « Le Choix », « ADMD », ou « Ultime Liberté ».
La soirée a débuté par la projection du documentaire, suivie d’une conférence d’Emmanuelle Huisman-Perrin, professeur de philosophie. Le documentaire est avant tout un témoignage, témoignage d’un homme d’une cinquantaine d’années atteint d’un locked-in syndrome (syndrome d’enfermement dans un corps qui ne répond plus – tétraplégie et incapacité à parler, à communiquer sauf par mouvements oculaires codés – ou, dans ce cas-ci, par le mouvement d’un seul doigt), témoignage d’une famille, sa femme, ses filles, son frère, sa belle-sœur qui l’accompagnent pendant son long combat et acceptent, par amour pour lui, son désir de mettre fin à sa vie. En savoir plus…
Comment protéger les enfants des En savoir plus…
Projection du documentaire « Quand un En savoir plus…
Il suffisait d’ouvrir sa fenêtre ces derniers jours pour se rendre à l’évidence : le climat n’est plus vraiment ce qu’il était et la fameuse phrase de nos aînés : « Il n’y a plus de saison » ne prête plus à rire.

Sur tous les continents, inondations soudaines, tempêtes, incendies incontrôlables se suivent à une fréquence de plus en plus rapide et nos responsables politiques se réunissent tout aussi fréquemment pour tenir des propos alarmistes et fixer des objectifs, rarement observés.
Le constat semble pourtant partagé par tous : au banc des accusés, nos émissions de gaz à effet de serre, principales causes du réchauffement climatique. Ainsi, stabiliser dans les prochaines décennies la hausse des températures et rétablir davantage de biodiversité représente un enjeu majeur de solidarité internationale et intergénérationnelle.
Tout le monde semble d’accord sur cet objectif, mais beaucoup moins d’accord sur les moyens d’y parvenir.
Devant l’inertie du monde politique, d’autres responsables, chercheurs ou écologistes, se tournent vers le grand public, non seulement pour lui faire prendre conscience du péril, mais aussi pour le convaincre que chacun d’entre nous à un rôle à jouer dans ce domaine.
C’est dans ce but que Christophe Brun, physicien et chercheur au CNRS à Sorbonne Université a présenté quelques éléments du rapport de GIEC (groupe d’experts intergouvernementaux sur le climat) publié en 2018.
Puis à l’aide de tableaux très clairs, il a mis en évidence l’incidence de nos habitudes de vie sur le taux d’émission de gaz à effet de serre. Sans surprise, on pourra constater que les habitudes de vie et les modes de consommation de 10% de la population mondiale, les plus riches, sont responsables de près de la moitié de la totalité des émissions de gaz à effet de serre, et on ne s’étonnera pas plus que la moitié de la population mondiale, les plus pauvres, ne sont « responsables » que de 10% de ces émissions.
Pour atteindre l’objectif de réduction de 60% des émissions actuelles d’ici 2030, il faudrait que chaque Français ne dépasse pas l’émission de 5 tonnes de gaz à effet de serre annuellement. Pour viser la neutralité carbone dans la seconde moitié du siècle après 2050, il faudrait que chaque être humain ne dépasse pas l’émission de 2 tonnes de gaz à effet de serre annuellement et c’est malheureusement ce qu’émet un simple aller-retour Paris/ New-York en avion. 
On comprend donc que si chacun a un rôle à jouer, certains ont un rôle plus important que d’autres. Tout le monde n’a pas la latitude de changer ses habitudes, mais chacun peut avoir un petit rôle, ne serait-ce que pour servir d’exemple. Chacun, du moins dans les pays développés, pourrait par exemple changer quelques habitudes en ce qui concerne nos trois mauvais génies : le transport, le logement, la nourriture, sans compter d’autres biens de consommation courante, des petits changements qui pourraient modifier dans le bon sens l’offre de produits et qui étaient d’ailleurs depuis longtemps conseillés par les médecins ou écologistes, avant même l’annonce de la catastrophe probable si les plus riches et les politiques continuent à regarder ailleurs, comme le disait Chirac.
Les exemples ont été nombreux et parlant pour tous. Vous trouverez ces chiffres et ces tableaux dans la présentation de Christophe Brun et il ne fait nul doute que la vingtaine de participants à ce café-débat aura trouvé matière à réflexion, et n’attendra pas la période des bonnes résolutions de fin d’année pour changer ses propres habitudes productrices de trop de gaz à effet de serre.
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