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Concert Alissa Wenz : grand succès le 3 mars 2024

Le public de l’Agoreine conquis

Invitée par ADS pour l’ouverture de la semaine des Droits des Femmes, Alissa Wenz a donné son spectacle Je Tu Elle à l’Agoreine le 3 mars, devant une salle comble. Une belle découverte pour le public et nous ne pouvons qu’être heureux d’avoir fait connaître, dans notre ville, cette artiste que nous apprécions tant.

Compositrice, pianiste, interprète et même humoriste, c’est un peu toutes les facettes de son travail et de sa personnalité qu’Alissa Wenz a présenté. Rapidement, l’artiste a su établir une véritable complicité avec le public, conquis par ses mélodies, par ses textes, par son humour et sa présence sur scène, par son talent en un mot. L’artiste, à son tour, s’est déclarée conquise par ce public, « un public formidable » selon ses mots, qui a su lui communiquer son enthousiasme par des applaudissements nourris.

Et pour la première partie, ADS avait invité la chorale Chantereine de Bourg-la-Reine, qui avait préparé un programme spécial, avec des textes drôles, interprétés avec brio et un plaisir manifeste, communicatif avec le public. Cela lui a valu d’être invitée dès le lendemain à assurer la première partie de deux concerts du festival de chanson française organisé par le CAEL !

ADS remercie la ville de Bourg-la-Reine pour sa présence et sa participation à l’organisation de cette soirée en mettant à notre disposition la salle de l’Agoreine et son équipe technique performante.

Café-Débat immigration, 19 mars 2024

Être étudiant(e) immigré(e) en France aujourd’hui

quatre étudiantes devant un bureauMardi 19 mars, en fin de journée, quatre étudiantes de l’I.U.T. de Sceaux ont présenté dans la salle des Garages, à Sceaux, les résultats d’un projet tutoré proposé par ADS pour traiter du « ressenti » de la condition d’immigré par les jeunes étudiantes ou étudiants, soit nés dans une famille arrivée récemment en France soit étant arrivés seuls pour y suivre des études.

Pour cerner d’éventuelles difficultés ou discriminations dues à leur condition d’immigrés ou au contraire souligner une intégration souhaitée et réussie, les étudiantes avaient élaboré un questionnaire très complet, diffusé au sein de plusieurs établissements universitaires et auquel avait répondu une cinquantaine d’étudiantes et étudiants.

Les sujets abordés étaient nombreux : profil des répondants, maîtrise de la langue française, intégration en France, dans leur établissement universitaire, les discriminations, les difficultés rencontrées, leur conscience citoyenne, leurs perspectives d’avenir.

Très riches, les réponses à ce questionnaire, présentées malheureusement un peu trop rapidement compte tenu du temps accordé, sont accessibles ici ce qui permettra de comprendre que chacune de ces diapositives aurait pu faire l’objet d’un débat à elle seule.

Cette présentation a été complétée d’une part par une vidéo d’extraits d’interviews d’étudiantes de l’IUT et d’autre part par la prise de parole de la dizaine d’étudiantes et d’étudiants immigrés présents dans l’auditoire, qui d’une voix pleine d’émotion, ont parlé de leur propre ressenti du statut d’immigré.

Qu’ils ou qu’elles soient né(e)s en France, arrivé(e)s avec leurs parents, ou encore arrivé(e)s seul(e)s pour suivre des études, qu’elles ou ils aient un seul ou leurs deux parents nés à l’étranger, ces étudiantes et étudiants ont exprimé leur fierté d’être « différents », découvrant parfois, en France, la chance d’acquérir une double culture.

Bien sûr, une intégration en France, pour peu qu’elle soit revendiquée, n’est jamais une entreprise facile ; bien sûr, les discriminations existent, plus ou moins déguisées, ressenties d’ailleurs plus par les garçons que par les filles dont la résilience doit être saluée. Bien sûr, les difficultés sont nombreuses, difficultés économiques, difficultés sociales, mais n’est-ce pas le cas de la majorité des étudiants ? Bien sûr aussi, l’avenir est incertain, partagé entre un futur retour dans son pays d’origine, un ancrage en France, ou encore un nouvel exil dans un tout autre pays.

Mais là n’était pas l’essentiel de ce que ces jeunes étudiants, ces jeunes étudiantes, venus d’Haïti, d’Algérie, du Congo, de Pologne ou de Colombie, voulaient exprimer. Ce qu’ils voulaient faire entendre et ce que tous les participants ont retenu de ces paroles contenues, c’était tout simplement une déclaration d’amour et de reconnaissance envers leurs parents, qui avaient eu le courage d’affronter l’inconnu pour immigrer, dans l’espoir d’offrir à leurs enfants de meilleures conditions de vie.

Un véritable moment d’enthousiasme, d’optimisme et de chaleur humaine dont les participants se rappelleront certainement.

Exposition « Femmes » du 16 mars à fin mai 2024

Le rendez-vous des photographes expose au Crédit mutuel

Il y avait affluence au Crédit Mutuel le samedi 16 mars pour le vernissage de l’exposition « Femmes » présentée par le Rendez-Vous des Photographes (RDVDP).

L’idée de cette exposition est venue assez naturellement.

Le RDVDP avait choisi le thème des « femmes » pour le numéro 12 de son Fanzine, avec l’objectif de le distribuer à partir du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes. Droits des femmes qui sont au cœur des engagements de l’Association Dynamique et Solidaire (AD&S) de Bourg-la-Reine.

Les deux associations ne pouvaient donc que se rejoindre pour organiser cet événement.

Et le vernissage a confirmé l’intérêt de ce travail en commun ! Un vernissage joyeux, animé. Les discussions sont allées bon train devant les photos. Les exposants étaient heureux de se retrouver comme à chaque rendez-vous, mais aussi ravis de rencontrer les adhérents d’ADS, avec quelques retrouvailles entre vieux amis, et les représentants du Crédit Mutuel.

 

Un vernissage convivial, à l’image des deux associations.

 

Le Rendez-vous des Photographes est une association dont le siège est à Bagneux. Elle regroupe des photographes, professionnels, amateurs éclairés ou simples passionnés. Mais pas que…
Ce n’est pas un hasard si le sous-titre de son Fanzine indique « À la rencontre des Arts ». Sculpture, peinture, dessin, musique, poésie, écriture, etc., tous les arts sont bienvenus dans l’association.
L’idée n’est pas de devenir un club photo mais un lieu d’échanges entre artistes pour partager les pratiques, les réalisations, les envies… Un rendez-vous dominical autour d’une tasse ou d’un verre.

Compte tenu de la particularité du RDVDP, l’exposition présente à la fois des œuvres photographiques de membres de l’association et des photos d’œuvres, tableaux et sculptures, dont d’autres membres sont les créateurs. En tout vingt-trois clichés qui présentent chacun une image de la femme, vue par les dix-huit exposants (*), tous membres de l’association.

(*) liste des exposants : Jacqueline Chesta, Caroline Giraud, Françoise Leboullenger, Danièle Le Déon, Sophie Lempérière, Wabé sculpture, Serge Barès, Olivier Dumay, Amadou Gaye, Hugues Guilleminot, Clode Hivernon, Patrick Houe, Bernard Jolivalt, Pierre Josse, Alain Legouas, Philip Pontay, Nicolas Téclès, Mostfa Turki

Crédit photographique : Serge Barès, Caroline Giraud, Bernard Jolivalt et Patrick Houe. Dessin : Isabelle Amiel.

Alissa Wenz, une nouvelle Barbara? en concert le 3 mars 2024

ALISSA WENZ Je, tu, elle

En partenariat avec la Ville de Bourg-la-Reine, nous vous proposons d’ouvrir la semaine de l’égalité femmes-hommes en musique,  avec le magnifique spectacle de Alissa Wenz, Je, tu, elle.

Le spectacle aura lieu à l’AGOREINE, 63 bis Bd du Maréchal Joffre, Bourg-la-Reine, le dimanche 3 mars 2024, à 17h30. En première partie, la chorale Chant’reine nous fera le plaisir d’interpréter quelques chansons.
L’entrée est libre, avec une participation au chapeau.

Avec « Je, tu, elle », Alissa Wenz raconte une histoire, des histoires, une femme, des femmes. De portraits en confidences, de douleurs en douceurs, elle observe l’intime et le monde avec un regard tour à tour tendre, malicieux, exigeant, rageur, fougueux ou romantique. Accompagnée au piano par Nathalie Fortin, elle nous embarque dans un voyage aussi prometteur que désenchanté, aussi impétueux que réconfortant.

 

Interview de Nadja, scéenne : Nadja, vous nous avez dit être heureuse d’apprendre la venue de Alissa Wenz à Bourg-la-Reine. Pourquoi ?

« Je suis capable de faire des kilomètres de route pour aller écouter Alissa et sa merveilleuse pianiste, Nathalie Fortin. Alors savoir qu’elles vont jouer leur spectacle si près de chez nous, dans la belle salle de l’Agoreine, me remplit en effet de joie ! Alissa fait partie d’une génération de jeunes chanteuses et chanteurs que j’admire beaucoup, pour leur persévérance à écrire de beaux textes, à tracer leur route, sans jamais renoncer à leur personnalité profonde.  Il y a de l’humour, de la tendresse et du souffle quand Alissa nous embarque. Et, sur des thèmes très variés, vous verrez qu’en grande connaisseuse de l’histoire du cinéma, elle déroule chaque chanson comme un petit scénario poétique.« 

Ce spectacle accompagne l’album Je, tu, elle (EPM / Universal), dont Romain Didier signe les arrangements.

Météo bretonne Alissa Wenz

Crédit photos : Nicolas Blanchard
Production : Contrepied Productions

Ce qu’en dit la Presse :

« Poétique, piquante ou un peu nostalgique : on retrouve chez elle un petit quelque chose de Barbara. » (Télérama)
« Une énergie folle. Une maîtrise remarquable qui vient mettre en valeur des textes d’une grande qualité. » (Hexagone)
« Une nouvelle venue dans le monde de la chanson, une jeune chanteuse à qui on souhaite le meilleur. » (France Musique)
« Imaginez une élégante dame brune venue des brumes, passionnée par la musique et la littérature, qui écrit des textes sensibles et romantiques, exaltés aussi. » (RFI)
« Dramaturgie et décor : chaque chanson est en soi une histoire. C’est un ravissement. » (Nos Enchanteurs)

Exposition peinture Jane Lorrain, 12 janvier 2024 – 5 mars 2024

Arrêt sur images

Dans une demi pénombre, devant le voile transparent d’un rideau, une chaise semble attendre. Le temps s’est arrêté. L’artiste, Jane Lorrain, a exercé son pouvoir absolu de suspendre à un moment précis la course du pinceau, pour arrêter le temps et nous livrer le mystère de toute œuvre d’art.

On ne saura jamais si la Joconde voulait vraiment sourire, ni comment, sur l’herbe, le déjeuner allait se poursuivre. On ne saura jamais si cette chaise recouverte de velours cramoisi attend le retour d’un ami, d’une amie, ou témoigne d’un départ définitif.

« Arrêter le temps », c’est peut-être le propos de tout artiste et c’est le titre de l’exposition que Jane Lorrain, invitée par ADS, propose au Crédit mutuel du 12 janvier au 5 mars.

Chercheuse dans le domaine de la pharmacologie, passionnée par toute découverte, animée d’une curiosité sans limites, Jane Lorrain a découvert la peinture, et plus particulièrement l’aquarelle, par un véritable coup de foudre pour le travail d’une amie, puis en découvrant les œuvres de Gottfried Salzman, le « peintre de l’eau », jouant de la transparence et de la fluidité pour transcender la rigueur des paysages urbains.

Avec l’obstination de tout chercheur, Jane Lorrain a tout d’abord étudié plusieurs techniques picturales, la gouache, le pastel, l’acrylique, pour revenir toujours vers ce médium « exaltant, puissant, enjoué, lumineux, sensible… » : l’aquarelle.

Un choix courageux pour une pratique qui ne bénéficie pas toujours  aujourd’hui d’une excellente presse, considérée trop souvent comme un passe-temps de vieille dame ou un simple coloriage pour enfants par un public qui n’a pas toujours suivi l’évolution de  l’aquarelle, passant  aujourd’hui de la « peinture à l’eau » à la peinture « dans l’eau », technique plus récente adoptée par Jane Lorrain, où le papier est soit trempé avant d’être tendu sur un châssis, soit plongé dans l’eau avant d’être posé sur plexiglas.

Depuis 2014, date de sa première exposition, Jane Lorrain a reçu pratiquement chaque année de nombreux prix, de nombreuses distinctions.

Invitée pour la seconde fois par ADS, après une première exposition en 2019, Jane Lorrain a de nouveau pris possession des murs de Crédit Mutuel, pour nous inviter, par de nouvelles aquarelles, et même quelques huiles, à arrêter nos regards sur ses paysages de neige, de fleurs ou d’intérieurs.

ADS info 21, Janvier 2024

Nos actualités Septembre – Décembre 2023

Ads info N°21

Retour sur le ciné-débat l’emprise du 25 novembre 2023

Comprendre l’emprise

C’est devant une salle comble que la projection du film « L’Emprise » et le débat avec Alissa Wenz ont eu lieu, le 25 novembre 2023, à l’occasion de la soirée organisée par ADS, en partenariat avec la ville de Bourg-La-Reine et la librairie l’Infinie Comédie, pour la Journée Internationale pour l’élimination des violences envers les femmes.

Un film dont les images étaient éprouvantes mais marquantes pour qui pourrait encore douter de la violence subie par certaines femmes. Un film poignant et c’est encore tous remués, que nous avons enchaîné sur le débat, un débat mené par Michel Giraud de ADS, avec une participation très active de la salle.

Michel Giraud a introduit le débat en rappelant que les femmes peuvent subir des violences physiques, comme vu dans le film, mais qu’il y a aussi des violences psychologiques, plus insidieuses car invisibles.

Puis, commençant par parler du style choisi pour l’écriture de son livre à inspiration autobiographique, Alissa Wenz a expliqué, en prenant des images très parlantes, l’incompréhensible vu de l’extérieur : pourquoi la femme, sous emprise, ne rompt pas immédiatement ? « quand vous attendez le bus qui n’arrive pas, et que vous avez déjà attendu 15 mn, vous attendez encore 5 mn, puis encore 5 mn, puis … , parce-que vous avez déjà fait tout ce chemin et que vous ne voulez pas renoncer, recommencer.  Il y a toujours l’espoir que ce sera différent demain ».

Elle explique aussi très bien que la femme est souvent conditionnée pour avoir un comportement d’ »infirmière ». Vis-à-vis de son conjoint qui va mal, elle ne peut donc pas partir, car il a besoin d’elle.

Et pour finir, retenons deux conseils :

  • Appeler le 3919 : l’écoute est bienveillante, utile. La victime peut prendre le temps de parler de sa situation, et comprendre ce qu’elle vit.
  • Si nous devons parler à une femme victime, ce qui est important, c’est de ne parler que de ce qu’elle vit. Peu importe les raisons du comportement de l’homme, car si on entre là-dedans, elle va toujours lui trouver des excuses, et tout va recommencer. La seule question qu’elle doit se poser en tant que femme : « qu’est-ce que j’accepte d’endurer ? » … l’égoïsme est sain parfois.

A la fin, il y avait la queue pour la dédicace de son roman, « A trop aimer », et malgré l’heure tardive, beaucoup de monde est resté au buffet, avec le besoin de parler, parler encore, sans doute encore secoué.

Et pour revoir Alissa Wenz sous un autre jour, nous vous donnons rendez-vous le 3 mars 17h30 à l’Agoreine (Bourg-la-Reine), où elle donnera son concert « Je, tu, elle ».

Pour en savoir plus sur l’Emprise, une bibliographie/filmographie préparée par Michel Giraud.

Exposition peinture, 14 novembre 2023 – 11 janvier 2024

ARADIS

Une dizaine d’artistes ayant l’habitude de se retrouver à l’occasion de divers salons de peinture auxquels ils participaient, principalement dans la banlieue sud, ont tout d’abord entretenu des relations d’amitié, pour enfin décider, en 2010, de se regrouper sous le vocable d’« Aradis », que des visiteurs de plus en plus nombreux sauront lire rapidement :« Art à dix ».

Le groupe se limite en effet à dix amis, principalement des peintres mais, l’amitié et la liberté étant les maîtres mots de ce regroupement, deux sculpteurs y furent rapidement tout autant bienvenus.

Aucune autre motivation que l’amitié, le respect de la création et le plaisir de l’échange anime les artistes d’Aradis. Il n’existe dans le groupe aucune obligation, aucune thématique commune, ni même de travaux en commun, chacun travaillant séparément selon sa technique : huile, pastel, acrylique… pour les peintres, et bois, pierre, céramique pour les sculpteurs.

Par contre, ces artistes, avides de rencontrer de nouveaux publics, se retrouvent naturellement et régulièrement dans les mêmes expositions ou organisent eux-mêmes des expositions communes dans la banlieue sud, leur terre d’élection, mais également à Barbizon, Montmartre, et même à une occasion en République Tchèque.

C’est avec plaisir que l’ADS accueillera la présentation d’une vingtaine d’œuvres picturales des artistes d’Aradis sur les murs du Crédit Mutuel de Bourg-la-Reine, du 15 novembre 2023 au 11 janvier 2024. Vernissage le samedi 2 décembre à 11h.

Atelier cinéma au Trianon à Sceaux, Novembre 2022 – mai 2023

Où sont les femmes?

programme des films sur les femmes au cinéma de SceauxLe cinéma « Le trianon » à Sceaux, avec lequel notre association a noué un partenariat depuis maintenant plusieurs mois, nous fait part de la programmation de sa saison 2023-2024 de l’Atelier cinéma sur la thématique « Où sont les femmes? »

Avec le message suivant :

« Nous pensons que la programmation de cette saison peut particulièrement intéresser les membres de votre association, puisque nous y mettons en avant des films rares réalisés par des femmes entre les années 50 et les années 80. L’occasion d’évoquer leur position très particulière dans la mesure où la très grande majorité des cinéastes de leurs époques étaient des hommes. »

Vous trouverez également ci après le lien avec la bande-annonce de cette programmation : https://www.youtube.com/watch?v=Ph5qembW2b0 

 Le groupe égalité femmes hommes d’ADS

Journée internationale contre les violences faites aux femmes, Ciné-Débat, 25 novembre 2023

Brisons le silence !

A  l’occasion de la journée internationale pour l’élimination des violences à l’égard des femmes, la Ville de Bourg-la-Reine et l’association BLR Dynamique et Solidaire s’associent pour vous inviter à un

CINÉ–DEBAT, le 25 novembre à 17h30.

École République, 25 boulevard Carnot, Bourg-la-Reine.

La soirée débutera par la projection d’un film « L’EMPRISE », réalisé par CLAUDE-MICHEL ROME. L’histoire d’une mère de famille de quatre enfants, qui se retrouve en mars 2012 dans le box des accusés des assises de Douai, pour le meurtre de son mari, un homme qui l’a battue et torturée pendant 12 ans. Ce film est issu d’une histoire vraie, celle d‘Alexandra Lange, acquittée après le meurtre de son mari. Une première en France en 2012.  Ecouter l’histoire d’Alexandra Lange.

Attention, ce film n’est pas adapté pour les moins de 12 ans.

A l’issue du film, à 19h, nous pourrons débattre sur le phénomène d’emprise, avec ALISSA WENZ, qui l’a vécu de l’intérieur avant d’écrire son roman d’inspiration autobiographique « À trop aimer », d’une rare justesse sur l’emprise amoureuse.

Un livre sur sa rencontre avec Tristan, violemment épris d’elle, c’est un émerveillement. Elle l’aime éperdument, un amour qui se donne corps et âme, capable de tout absorber, les humeurs de plus en plus sombres, de plus en plus violentes. Jusqu’à quel point ? Au point de s’isoler pour ne plus entendre les insultes, au point de mentir à ses proches, au point de s’habituer à la peur ? Est-ce cela, aimer quelqu’un ?  Voir Alissa Wenz présenter son livre
Le débat sera animé par Michel GIRAUD, ADS qui nous fait part de sa critique du livre, qu’il qualifie de très beau roman témoignage.

A l’issue du débat, Alissa Wenz nous fera le plaisir de dédicacer son livre, avec le concours de la librairie de Bourg-la-Reine, L’infinie Comédie.